Galerie Younique

Secteur Insight
Stand IN4

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65, rue Pascal
75013 Paris
France

Présentation de la galerie

La Galerie Younique fut créé en 2005 à Paris par Mathias Bloch.

Dans le néologisme Younique, il y a la fusion du “you”, l’individu, et de “unique”, l’unicité de l’art comme l’essence même de toute création artistique. C’est l’association de ces deux concepts qui génère le rapport unique à l’art que la galerie met en avant; représentant des oeuvres fortes de la jeune création internationale et d’artistes reconnus, questionnant la perception de la réalité.

Spécialisée en art contemporain (peinture, photographie, sculpture, installation et vidéo), Younique crée un pont entre la France et l’Amérique Latine: valorisant l’art français à l’étranger et représentant l’art latino-américain en Europe.

En 2014 l’idée d’ouvrir un bureau-galerie à Lima (Pérou) a surgi et s’est concrétisée en 2020. Aussi ces dernières années, la galerie a multiplié les projets au Mexique.

La Galerie Younique est, depuis 2013, membre du Comité Professionnel des Galeries d’Art.

Présentation de l'artiste en focus

Née en 1986 en Belgique, Priscilla Beccari est une artiste plasticienne et musicienne s'exprimant à travers le dessin, la performance, la photographie, l'installation et la vidéo. Elle interroge notamment la féminité, la condition humaine, les étapes de la vie, l’espace domestique, le corps et la sexualité. Son œuvre évoque fréquemment le rôle social, culturel et politique de la femme. Comme des saynètes de son théâtre intérieur, l'artiste croque avec ironie de manière cruelle et néo-surréaliste, l'absurdité, la solitude et la folie de l'individu, pris dans un quotidien hybride et cocasse.

« On retrouve un peu la violence d’une Louise Bourgeois et certains motifs chers à Kiki Smith. Les corps, le plus souvent féminins, se désarticulent, se noient, se blessent ou fléchissent. La figure maternelle se fait grotesque ou menaçante, l’amour et la sexualité se dévoilent sous l’angle de la docilité et/ou d’un désir monstrueusement cannibale. Truffé d’ambiguïtés, ce travail résiste bien au poids de ses références, les éconduit parfois au profit de l’humour noir.
Dense et échevelé, ce travail n’est pas sans inspirer une forme de résistance, toujours vaincue mais infiniment reprise. On ne se lasse jamais des catastrophes, ni des tourments intimes, lorsqu’ils s’auscultent en profondeur, les yeux brouillés et la mâchoire serrée. Au-delà, on est séduit par l’aspect délibérément âpre de l’ensemble, à mille lieues des travers esthétisant que peuvent susciter chez d’autres ces thématiques. Point de glamour ni de misérabilisme, mais un trait rêche et acide à même de toucher l’os » explique Benoit Dusart.

Beccari a représenté la République de San Marino à la Biennale de Venise en 2017.