Galerie Albrecht

Secteur Général
Stand C10

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Bleibtreustr. 48
10623 Berlin
Allemagne

Présentation de la galerie

Susanne Albrecht a fondé la Galerie Albrecht à Munich en 1986 et s'est installée à Berlin en 2009.

Dans ses projets actuels, Susanne Albrecht se consacre à la redécouverte d'artistes féminines oubliées en Allemagne. Depuis 2021, elle représente la photographe juive allemande Ruth Bernhard (1905-2006) et a publié la première publication en langue allemande sur son travail chez Wasmuth & Zohlen. En 2023, des expositions de la peintre Sarah Schumann (1933-2019) ont suivi. En 2024, des expositions de Sigrid Kopfermann (1923-2011) et d'Anna Zemánková (1908-1986) seront présentées.

La galerie représente également une liste permanente d'artistes internationaux axés sur la peinture, le dessin et la photographie, notamment Anna Zemánková, Alexandra Duprez, Eric Cruikshank, Carlos Arias, Olivier Richon, Michela Ghisetti, Chen Ruo Bing, Huang Yuan Qing, Michael Toenges, Peter Tollens, Veronika Holcová, Peter Bialobrzeski, Michael Kenna, Silke Leverkühne.

Elle a commencé le travail de la galerie avec l'art contemporain des États-Unis, en exposant Peter Halley, Allan McCollum, Ross Bleckner, Jonathan Borofsky, Suzan Etkin, entre autres. Elle a également offert à Tom Wood, Evelyn Atkin, Julian Opie, Gerold Miller et Günter Umberg leur première exposition personnelle en Allemagne. Elle a présenté des dessins de Peter Roehr, Francesco Clemente et du photographe Martin Parr

Présentation de l'artiste en focus

Alexandra Duprez a développé une approche intuitive du dessin et de la peinture, s'inspirant de l'art brut et de l'art populaire. Dans ses images, elle évoque un monde fantasmagorique proche du rêve, peuplé de créatures inquiétantes, de formes enchevêtrées et d'yeux démultipliés, entre figuration et abstraction. Au centre de son travail, le corps humain, un corps qui se dédouble, s'efface et se transforme, pour devenir un être en constante mutation, mi-animal, mi-végétal. En ajoutant et en recouvrant, couche après couche, l'artiste crée ce qu'elle appelle des "lambeaux d'images", fragments d'une histoire sans cesse réinventée aux ramifications foisonnantes. L'œil s'égare, comme dans une forêt métaphorique née de l'inconscient de l'artiste.