quand les fleurs nous sauvent

Secteur Process
Stand PR4

quand-les-fleurs-nous-sauvent_noir

53, rue de Chabrol
75010 Paris
France

Présentation de la galerie

« quand les fleurs nous sauvent » défend une nouvelle vision de la galerie d'art.
Conceptuelle et nomade, elle crée des évènements et expériences artistiques uniques sur le thème des fleurs, du végétal et plus largement de la nature.
Engagée, elle présente des œuvres d’artistes émergents, aussi bien que reconnus, pour accueillir les collectionneurs débutants comme confirmés.
Responsable, elle finance par ses ventes, des distributions de fleurs aux plus démunis via l’association qu’elle a créée.

Présentation de l'artiste en focus

Formée à l'Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Nantes et titulaire d'un Master en Art, Création et Recherche à Madrid, Françoise Vanneraud s'intéresse depuis plusieurs années, à la perception subjective du temps et de l’espace à travers un questionnement sur les notions d’exil, de territoire, de mémoire et de temps vécu. Formellement, son travail s’articule autour du dessin, pratique médullaire de laquelle elle part dans un perpétuel exercice d’expansion vers d’autres registres de présentation, tels que la sculpture, l’objet et l’installation. De cette manière, le dessin se convertit en son premier outil de travail, lui permettant d’expérimenter et d’essayer différentes méthodes de relation entre le spectateur et les oeuvres. La notion de paysage étant un élément central de sa pratique, elle se sert du dessin pour effectuer une analyse du territoire à forte composante poétique.
Ses oeuvres s'intéressent aux frontières entre le visible et l’invisible, le tangible et l’aléatoire, l’aller et le retour, pour finalement questionner les causes et effets qui convertissent, voire transfigurent le paysage en territoire. Le dessin ici n’a pas vocation à être une simple trace sur papier mais plutôt une stratégie d’accumulation qui s’approche de la tridimensionnalité du monde physique des objets. Paysage, territoire, mémoire et temps s’unissent dans ces images qui sont aussi un écho par le geste dessiné de ce qui ne semble pas être en eux : la présence d’un être humain.